Décidément,
rien n’y fait. Tenez-vous bien ! Dans la république des stupidités, la graine
de la haine viscérale est nécessairement source de promotion sociale et de
gagne-pain. En lieu et place d’un état de droit et à l’épreuve des faits, sévit
la rupture estropiée qui devient, ipso facto un puits d’imposture au nom d’une
gouvernance consensuellement népotique et gabégique.
Aussi
extraordinaire que cela puisse paraître, l’idéologie de la haine s’abat
hystériquement contre Abdoulaye wade, l’ancien président de la république, le
créateur de son élève, en la personne de Macky Sall, le multimilliardaire
étrange des raccourcis politiques, du haut de son piédestal doit son envol
fulgurant à celui qu’il insulte par Oumy Sy, interposée et à travers son affluence
surabondante, totalitaire, monopolisée.
Apparemment,
le procureur de la république reste sourd, muet, aveugle semble excentrique,
pour ne rien entendre, alors que pour une simple sortie normale, au vitriol
contre les dérives spectaculaires de Macky sall, agit par entente télépathique,
appelle sa soldatesque pour cueillir le présumé coupable, pour crime supposé de
lèse-majesté. Qui est donc derrière les injuries contre l’ancien chef d’état du
Sénégal ?
Qui ne dit rien, ne condamne pas, consent, est
coupable. L’homme est-il à la hauteur comme l’encense de
façon complaisante,
Oumy Sy, la rabaissée politique, cherche-t-elle grossièrement à manger dans le
râtelier franc-maçonnique marron ?
Certainement
oui.
Parlons
donc des graines avariées de la haine viscérale, telles des toiles d’araignée
qui ne peuvent pas produire le contraire
!
Plus
les idioties et les parades ordurières, quotidiennes, incessantes, se perlent à
un rythme effréné et qui s’amoncellent ouvertement et publiquement, pour
écrabouiller les citoyens libres, plus les lamentables adeptes s’agrandissent
allégrement et obtiennent uniquement des postes de haute stature dans la «
république alpulaarisée, familiale »..
L’homme
qui nous dirige d’une main de fer depuis le regrettable du 25 mars 2012, qui a
été un acteur principal, n’a jamais souffert des affres du magistère de son
mentor, dont il a hérité au contraire, une immense fortune. Un tel
presdigitateur ne peut fournir une once de patriotisme.
Depuis
4 ans, sans discontinuer, le masque de théâtre châtie de plus bel. Tout y est.
Enfumage, mensonges, ostracismes et discriminations, non assumés. Le huis clos
de la démocratie ethnique se joue à guichet fermé par l’entregent du
corporatisme clanique, offensant, dans lequel les encenseurs mortifies ont le
vent en poupe. C’est ça la saga pestilentielle de la ribambelle d’abondance
empestée jusqu’à l’abîme ! Que voulez-vous ?
Lorsque
dans un pays où la misère sociale endémique et le déficit chronique généralisé,
vont en pis, et à quoi cela s’ajoute le laxisme affligeant de toute la classe
politique, élaguée, isolée, charcutée et traînée dans la boue comme des
malfrats, abdique par consentement réactionnaire sur toute la ligne, face à un
régime de pugilat, qui agit pour des broutilles, bande ses muscles à la moindre
incartade et de façon disproportionnée par l’habileté prompte de sa soldatesque
SS Waffen, il va sans dire que l’abondance
du mal triomphaliste, sévira, tant que la somnolence à l’échelle nationale
demeurera.
Quant
aux centrales syndicales, elles s’accrochent toutes dans un corporatisme
hystérique, plutôt que de défendre les intérêts supérieurs de la nation.
S’agissant donc de la société civile, elle
reste peu réactive, et se contente par des incantations stériles, pour se
donner bonne conscience.
Dans
ces condition, le productivisme faisant cruellement défaut, rien ne peut
prospérer dans le sens des progrès, car dans un tel pays étrange et à la
renverse, qui prend par son manque de courage le contrepied de nos frères
vaillants burkinabés, qui furent tous unis et réunis autour d’un bloc
monolithique, unitaire, anti-référendum, ont la faculté, le réflexe et la
sagesse de changer le rapport de force, en déboulonnant le dictateur Blaise Compaoré
pour le mettre hors d’état de nuire.
On
connaît la suite. Or ici, rien ne se passe absolument malgré la morosité
sociale intenable, car la presse de servitude qui devrait jouer nécessairement
son rôle de premier plan d’avant-garde, s’est totalement dégonflée, se laisse
corrompre librement, a failli à sa mission sur toute la ligne, pour n’être que
le matelas et le porte-parole, le porte drapeau d’un régime de brigandage et de
la charogne.
Voilà donc pourquoi, depuis belle lurette, les promesses électorales ne suivent nullement les actions sur le terrain. Il n’est donc pas étonnant qu’il en soit ainsi.
Voilà donc pourquoi, depuis belle lurette, les promesses électorales ne suivent nullement les actions sur le terrain. Il n’est donc pas étonnant qu’il en soit ainsi.
Ce
régime se résume par des provocations, dépenses onéreuses, voyages superflus,
distributions massives de grades surréalistes à tout vent, campagne électorale
permanente d’un régime pandémique, corrompu, budgétivore, clientéliste,
incapable, arrogant, suffisant, moribond de brigandage, nous bombarde d’une
rupture d’escroquerie, labellisée par une presse corrompue, bien gloutonnée.
Laquelle est en lien inceste avec des politiques qui ont des consciences
altérées. En définitive, les combines politiques du conseil anticonstitutionnel,
bien ligoté à l’Assemblée de service du palais.
Tous
les deux sont tenus en laisse par la corde du président de la république, ce
monarque dans son piédestal et à l’épreuve des faits, constitue éloquemment une
parfaite illustration.
Les charivaris démentiels des revirements
spectaculaires, sous le simulacre paravent d’un référendum taillé sur mesure,
s’inscrivent à n’en pas douter en droite ligne, dans la régression, n’ont
d’autres objectifs que de renforcer davantage les pouvoirs exorbitants du
régime présidentiel, s’arroge toutes les dérives permanentes.
Il y’ a dans ce pays beaucoup plus « de
fonctionnaires de la politique » que de fonctionnaires réels, mais pire encore,
n’importe quel enseignant peut s’autoproclamer du jour au lendemain un
professionnel du journalisme. Ne faudrait-il pas fermer toutes les écoles de
journalisme dans ce cas ?
La
politique n’est plus un sacerdoce, mais une question de prébendes et de
sinécures. Elle est devenue un métier et non point une profession de
foi, mais
une profusion des menteries exponentielles, due à une crise morale,
politico-financière et sur fond de rancunes abjectes et de rapines
manifestes.
En
fait, il y a un problème d’éthique et d’équité qui se pose. Le métier de
journaliste implique nécessairement une véritable déontologie professionnelle.
C’est quoi donc la qualité de journaliste ? Le journaliste est par définition,
celui qui a la carte professionnelle, après une solide formation dans ce
domaine. Apparemment, il n’en est rien au Sénégal, car ce métier est galvaudé,
dissipé de sa substance.
Certes,
parler, écrire correctement la langue française, est une chose, mais lorsque
l’aptitude journalistique s’acquiert automatiquement au nom de la sacro-sainte
loi d’un verbiage creux, politique, en bandoulière, il y a manifestement des
dérives. Est-ce donc le fait que le vrai journaliste en la matière n’accepte
pas du tout, qu’on lui substitue par l’arbitraire, des politiques mercenaires,
chevronnés, encagoulés, pour faire le sale boulot ? La question se pose.
Les
raccourcis politiques sont désormais devenus source de promotion sociale et
d’enrichissements illicites de la classe politique encordée.
On les dénomme « les rats ou les
fonctionnaires de la politique » jusqu’à l’abîme Bref, ils deviennent des
parasites qui ne vivent éternellement qu’aux crochets de la république qu’ils
vassalisent, agenouillent pour leur nombrilisme pesant. Ce sont des anormaux,
pourris, qui s’adjugent tout et ne s’en encombrent, outre mesure, d’aucune
probité intellectuelle, palpable. C’est le cas de Macky Sall et son talibé, Abou
Abel Thiam et Cie en bande organisée.
Ces
guignols attardés, pour peu ou prou qu’ils sachent s’exprimer approximativement
en français, se croient plus futés que l’ensemble des sénégalais, alors qu’en
réalité, ils s’adonnent dans leur rôle de farandoles.
Ce
sont des symboles invétérés de la médiocrité, qui brillent tous dans une
monstruosité qui leur colle à la peau. Alors qu’ils savent dans leur for
intérieur qu’ils ne valent pas un sou.
N’eût
été donc l’élection de Macky Sall à la magistrature suprême, le Farba de la Françafrique,
qui s’est travesti en élève, ou l’envoyé spécial colonial, l’affairiste Pétain
noir, le traitre de notoriété nationale, ne serait rien du tout. Car en Afrique des
élites larbinisées jusqu’à la moelle et sous la coupole de l’emprise totale
coloniale, le pouvoir est une question de clans et de familles. Les promesses
électorales n’engagent que ceux qui y croient. C’est la règle générale des
nègres de service de la bassesse tous unifiés.
Alors,
le pedigree de la désinvolture, le prédateur, l’envoyé spécial de la servilité
chevaleresque, accrédité pour les basses besognes, tient à absoudre les
forfaits insurmontables de son seigneur, spirituel, sectaire, menteur
professionnel, comme lui, ne cesse de développer hystériquement la quintessence
d’un label de la rhétorique mensongère et au nom d’une engeance maléfique,
estampillée la gouvernance calamiteuse, carambouilleuse , lamentablement aux
abois, laquelle est complètement démasquée, charcutée tant sur le plan national
qu’international, pour son banditisme financier, politique, blasphématoire
totalement manifeste.
Il va sans que dire que ceux qui se ressemblent, s’assemblent. Ce qui
les unit et supérieur que ce qui les désunit. Évidemment, de source
bien informée, l’homme est payé disproportionnellement mensuellement et à
hauteur de 14 millions F CFA. Dans de telles conditions déplorables,
l’homme est bien obligé d’abuser pour assurer le service après- vente de
ses stupidités purulentes, comme son inspirateur qui lui assure la
pitance quotidienne, pour qu’il survive.
C’est ça le secret de la république des
panégyriques loufoques. C’est donc un secret de polichinelle. Pour avoir sa
place au soleil, il faut encenser, mentir et mentir. Les contrevérités fumantes
sont devenues une norme établie dans ce pays étrange et à la renverse.
Que
fait-il de la gouvernance bancale des nominations hystériques, biscornues et
aux connotations ethniques, flagrantes à laquelle il fait partie ?
C’est
Macky sall himself, qui a bien signé le décret de la destruction de ladite
Cité.
Partage de la Cité Tobago : Voici la liste des autorités de la République qui ont bénéficié des terrains.
Partage de la Cité Tobago : Voici la liste des autorités de la République qui ont bénéficié des terrains.
«
Le prétendu plan Sénégal Emergent » cache bien le scandale ubuesque de la
Société Pétro-Tim Sénégal S.A, sortie de terre par Aliou Sall sous la
complicité active de macky sall.
Ou les affaires nébuleuses Sall – communément
appelées Sallgate, entre autres, Arcelor Mittal, les escalades de Jakpot et la
galaxie des postes de nominations à connotations ethniques dans toutes les
agences clientélistes, budgétivores, poussent comme des champignons dans la
capitale sénégalaise. en bandoulière, notamment le parachutage de l’enseignant
Abou Abel Thiam, le tonitruant, au patronyme bien distingué, qui est très
bavard et de nature hargneuse, ne doit son ascension fulgurante qu’à sa
proximité avec couple présidentiel, était nommé comme conseiller à la
présidence de la république -un poste qu’il quitte au profit de L’Autorité de
régulation des postes et télécommunications) (Artp), dont Abdou Karim Sall,
alpullaar bon teint, est le dg.
En
février 2015, Abou Abel Thiam, le même homme faisait des vagues sur fond de
positionnement, car à l’époque, Abou Abel Thiam), qui est bien connu pour sa
boulimie, empiétait sur les prérogatives d’Abdou Karim Sall, au point de
vouloir lorgner sa place.
Il
est loin d’être un cas isolé. IL y en a la pelle à l’état-apr. Prenons le cas
de Thérèse Faye, une femme insolente, membre de l’apr, une proche de Marième
Faye, qui a bien trouvé une planque, est nommée directrice à la Case des Tout-petits.
Et Macky a casé son mari comme conseiller à L’ARTP, bénéficie d’un contrat à
durée indéterminée. Ils n’ont aucune conviction, si ce n’est leurs
propres intérêts mal placés.
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